Sharko au Cabaret Frappé

PJ : ça n’empêche pas que nous on aime bien l’album et qu’il donne la pêche ; est-ce que vous avez lu un peu votre fiche promo réalisée par Coup Franc! ? comment elle vous décrit, des choses comme ca, comment elle joue sur votre image ?
DB : je ne suis pas sur de l’avoir lue mais je crois avoir donne mon accord tacite...

PJ : parce que c’est une présentation comme quelqu’un de turbulent qui se serait assagi. Ce serait ca ?
DB : mais ils font peut-être référence au premier album qui est vraiment très éclaté. C’est une sagesse commerciale j’ai envie de dire.

PJ : avec qui aimeriez vous faire un duo ?
DB : avec Johnny Hallyday parce que j’imagine les répercutions au niveau des thunes. Ou artistiquement avec Johnny Cash. Il est malade ? Ah... je cherche... un truc hyper crédible : Björk évidemment ou Thom York. Ca m’ouvre des portes forcement.

PJ : les BO de film ca vous tenterait ?
DB : ça serait génial ouais !

PJ : vous avez des références cinématographiques ?
DB : le premier album a été très marque par des films, vraiment très très fort.

PJ : quand on feuillette la pochette de l’album, on constate qu’il y a beaucoup de références à ce que vous avez lu ou ce que vous avez vu. Des citations de Mohamed Ali, de chefs indiens, etc. Vous vous intéressez à toutes les cultures ?
DB : ouf ! J’aimerais bien dire ca mais... J’aimerais bien être le Patrick Bruel de la scène alternative pop-rock belge mais je n’ai pas cette mission ; il y a des trucs qui me touchent. Le plus important c’est de tomber sur un truc qui te touche, qui va t’émouvoir, peu importe la culture, l’origine. Donc c’est vrai il y a Mohamed Ali, il y a les chefs indiens, il y a une citation de Georges Lucas : c’est vraiment touchant de voir de que Lucas a fait avant Star Wars et après. C’est 2 mondes, 2 univers et 2 esprits.

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